Histoire: Un Problema a Scuola (Un Problème à l'École)
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Écouter sur YouTube Lu par Fabulang
È buio. Non c’è luna nel cielo. Due persone camminano velocemente verso la scuola. È un edificio vecchio, fatto di pietra. Sembra quasi un castello.
Il fait sombre. Il n’y a pas de lune dans le ciel. Deux personnes marchent rapidement vers l’école. C’est un vieux bâtiment en pierre. Il ressemble presque à un château.
Si fermano all’ingresso principale.
Ils s’arrêtent à l’entrée principale.
“La terza porta —” dice l’uomo. È spaventato. Non riesce a parlare.
“Troisième porte —” dit l’homme. Il a peur. Il n’arrive pas à parler.
“Qui sei al sicuro,” dice la donna.
“Vous êtes en sécurité ici,” dit la femme.
L’uomo respira. “Attraversa l’atrio principale. Poi è la terza porta a sinistra.”
L’homme respire. “Traversez le hall principal. Puis, c’est la troisième porte à gauche.”
L’uomo le porge una torcia. “Prendi questa.” Lei la respinge.
L’homme lui tend une lampe torche. “Prenez ceci.” Elle la repousse.
“Ma è pericoloso, signorina Acciaio! La persona che è venuta prima…”
“Mais c’est dangereux, Mlle Acier ! La personne précédente qui…”
“Non posso usarla. Nella mia professione, Preside… devo lavorare al buio. I miei… strumenti… sono nella mia borsa.”
“Je ne peux pas l’utiliser. Dans mon métier, Directeur… je dois travailler dans le noir. Mes… outils… sont dans mon sac.”
Il viso dell’uomo è pallido. “Non voglio sapere cosa c’è lì dentro,” dice. “Per favore, risolvi solo il nostro… problema.”
Le visage de l’homme est pâle. “Je ne veux pas savoir ce qu’il y a là-dedans,” dit-il. “S’il vous plaît, résolvez simplement notre… problème.”
“Assicurati solo che il secondo pagamento arrivi in tempo,” dice la signorina Acciaio. Poi entra nella scuola. La porta si chiude rumorosamente dietro di lei.
“Envoyez simplement le deuxième paiement à temps,” dit Mlle Acier. Puis elle entre dans l’école. La porte claque derrière elle.
Non c’è alcuna luce. Non riesce a vedere niente. Tocca le pareti con le mani. La pietra è fredda.
Il n’y a pas du tout de lumière. Elle ne voit rien. Elle touche les murs avec ses mains. La pierre est froide.
Cammina in avanti. I suoi passi sono rumorosi. Sono l’unico suono. Tiene la sua borsa stretta al petto.
Elle avance. Ses pas sont bruyants. Ils sont le seul son. Elle tient son sac près de sa poitrine.
Dall’altra parte dell’atrio principale, c’è un corridoio lungo e stretto. Ci sono molte porte alla sua sinistra e destra. Conta le porte. Una, due, tre. Si ferma. Trattiene il respiro.
De l’autre côté du hall principal, il y a un long couloir étroit. Il y a beaucoup de portes à gauche et à droite. Elle compte les portes. Une, deux, trois. Elle s’arrête. Elle retient son souffle.
Sotto la terza porta, può vedere un po’ di luce. La luce è molto fioca, con un pallido colore viola. Ascolta. C’è un suono di ticchettio e graffi.
Sous la troisième porte, elle voit de la lumière. La lumière est très faible, avec une couleur violette pâle. Elle écoute. Il y a un bruit de tapotement et de grattement.
Entra nella stanza. La porta scricchiola rumorosamente. La stanza è grande, con molti tavoli e sedie.
Elle entre dans la salle de classe. La porte grince bruyamment. La pièce est grande, avec beaucoup de tables et de chaises.
Un ragazzino è seduto su una delle sedie. La luce viola proviene da lui.
Un petit garçon est assis sur l’une des chaises. La lumière violette vient de lui.
Lentamente, la signorina Acciaio si avvicina. Si ferma dietro al ragazzino. Lui sta scrivendo su una lavagna con un pezzo di gesso. Può vedere la scritta bianca attraverso la schiena del ragazzino.
Lentement, Mlle Acier s’approche. Elle se tient derrière le garçon. Il écrit sur une ardoise avec un morceau de craie. Elle peut voir l’écriture blanche à travers le dos du garçon.
Ha bisogno di avvicinarsi di più.
Elle doit s’approcher encore plus.
“Posso sedermi con te?” chiede tranquillamente.
“Je peux m’asseoir avec toi ?” demande-t-elle doucement.
Il ragazzino non risponde. Il gesso ticchetta e graffia. Lentamente, la signorina Acciaio si siede. Il ragazzino è molto freddo. Lei può sentirlo.
Le garçon ne répond pas. La craie tape et gratte. Lentement, Mlle Acier s’assoit. Le garçon est très froid. Elle peut le sentir.
“Sei un’altra ammazza fantasmi?” dice improvvisamente il ragazzino. “Posso farti del male anche io.”
“Es-tu un autre tueur de fantômes ?” dit soudainement le garçon. “Je peux te faire du mal aussi.”
“Non voglio farti del male,” dice subito la signorina Acciaio. Troppo in fretta.
“Je ne veux pas te faire de mal,” dit rapidement Mlle Acier. Trop rapidement.
“Cinquecentodiciassettemila… duecentoquarantasei,” dice il ragazzino. Sta guardando la lavagna. Ci sono numeri dappertutto. “Diviso quarantaduemila… ottocentododici…”
“Cinq cent dix-sept mille deux cent quarante-six,” dit le garçon. Il regarde l’ardoise. Il y a des chiffres partout. “Divisé par quarante-deux mille huit cent douze…”
“Stai… facendo matematica?”
“Tu… fais des maths ?”
“Sono pessimo in matematica!” grida il ragazzino. “Allora il professore mi ha punito. Mi ha dato questo problema. Ha detto: ‘Non puoi andartene finché non lo risolvi!’ Cinquecentodiciassettemila…”
“Je suis mauvais en maths !” crie le garçon. “Alors le professeur m’a puni. Il m’a donné cette question. Il a dit : ‘Tu ne peux pas partir tant que tu n’as pas trouvé la réponse !’ Cinq cent dix-sept mille…”
“E stai ancora provando? Da quanto tempo…?”
“Et tu essaies encore ? Depuis combien de temps… ?”
“Non lo so… la candela è ancora… oh… dov’è la candela?”
“Je ne sais pas… la bougie est encore… oh… où est la bougie ?”
Il ragazzino cerca la candela con lo sguardo. Non sta guardando la signorina Acciaio.
Le garçon cherche la bougie des yeux. Il ne regarde pas Mlle Acier.
Silenziosamente, la signorina Acciaio apre la sua borsa. Osservando il ragazzino, cerca dentro la borsa. Lentamente, tira fuori un piccolo oggetto nero. Lo mette sul tavolo.
Silencieusement, Mlle Acier ouvre son sac. En regardant le garçon, elle cherche à l’intérieur de son sac. Lentement, elle sort un petit objet noir. Elle le pose sur la table.
“Cos’è quello?” dice improvvisamente il ragazzino.
“Qu’est-ce que c’est ?” dit soudainement le garçon.
“Si chiama calcolatrice.”
“Ça s’appelle une calculatrice.”